
La question, me semble-t-il, mérite d'être posée, au regard de l'évolution de la situation depuis le 24 novembre, date à laquelle l'aviation turque a abattu un bombardier russe accusé d'avoir violé son espace aérien malgré les mises en garde.
Depuis, le ping-pong diplomatico-médiatique s'est engagé entre Poutine et Erdogan. Globalement le second, tout en refusant de s'excuser et en affirmant être dans son bon droit, tente de calmer le jeu, estimant sans doute avoir suffisamment marqué son terrain en abattant ledit avion.
De son...
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